Comment les luminaires d'éclairage public dissipent-ils la chaleur ?

Feux de route à LEDsont désormais largement utilisés, et de plus en plus de routes privilégient l'utilisation de lampadaires pour remplacer les lampes à incandescence et à sodium haute pression traditionnelles. Cependant, les températures estivales augmentent chaque année, et les lampadaires sont constamment confrontés au défi de la dissipation thermique. Que se passe-t-il si la source lumineuse ne dissipe pas correctement la chaleur ?

Tête de lampadaire à LED TXLED-10Luminaire TianxiangDoté d'une structure à conductivité thermique à contact direct, il transfère la chaleur générée par la source lumineuse LED directement au dissipateur thermique, réduisant ainsi l'accumulation de chaleur interne. Même par temps extrêmement chaud en été, le lampadaire conserve sa luminosité nominale, évitant ainsi les problèmes tels que les baisses de luminosité soudaines et le scintillement causés par les températures élevées. Ce système garantit une stabilité optimale tout au long de l'année et une protection fiable de l'éclairage public urbain.

1. Durée de vie raccourcie

Pour les luminaires d'éclairage public, la dissipation thermique est primordiale. Une mauvaise dissipation thermique peut avoir de nombreux effets négatifs sur le fonctionnement du luminaire. Par exemple, les sources lumineuses LED convertissent l'énergie électrique en lumière, mais la totalité de l'énergie électrique n'est pas convertie en lumière en raison de la loi de conservation. L'énergie électrique excédentaire peut être convertie en chaleur. Si la structure de dissipation thermique de la lampe LED n'est pas correctement conçue, elle ne pourra pas dissiper rapidement la chaleur excédentaire, ce qui entraînera une accumulation excessive de chaleur dans le luminaire et réduira sa durée de vie.

2. Détérioration de la qualité des matériaux

Si une source d'éclairage public surchauffe et ne peut pas dissiper cette chaleur, les matériaux s'oxyderont à plusieurs reprises en raison des températures élevées, entraînant une dégradation de la qualité de la source lumineuse LED.

3. Défaillance d'un composant électronique

À mesure que la température d'une source d'éclairage public augmente, la résistance qu'elle rencontre augmente, ce qui entraîne une augmentation du courant et, par conséquent, de la chaleur. Une surchauffe peut endommager les composants électroniques et entraîner des pannes.

4. Déformation des matériaux des lampes

En réalité, nous rencontrons souvent ce problème au quotidien. Par exemple, lorsqu'un objet est exposé à une chaleur excessive, il se déforme légèrement. Il en va de même pour les sources lumineuses des lampadaires.

Les sources lumineuses LED sont composées de nombreux matériaux. Lorsque la température augmente, les différentes pièces se dilatent et se contractent différemment. Ceci peut entraîner une trop grande proximité entre deux composants, les comprimant l'un contre l'autre, entraînant déformation et dommages. Pour produire des luminaires d'éclairage public de haute qualité, les entreprises doivent d'abord privilégier la conception de la dissipation thermique. Résoudre ce problème de dissipation thermique garantit la longévité des luminaires d'éclairage public. La dissipation thermique est donc un enjeu clé pour des luminaires d'éclairage public de haute qualité.

Luminaire

Actuellement, il existe deux méthodes principales de dissipation de la chaleur dans les luminaires d’éclairage public : la dissipation passive de la chaleur et la dissipation active de la chaleur.

1. Dissipation thermique passive : La chaleur générée par le lampadaire est dissipée par convection naturelle entre la surface du lampadaire et l'air. Cette méthode de dissipation thermique est simple à concevoir et s'intègre facilement à la conception mécanique du lampadaire. Elle répond parfaitement au niveau de protection requis pour la lampe et est relativement peu coûteuse. C'est actuellement la méthode de dissipation thermique la plus répandue.

La chaleur est d'abord transférée à travers la couche de soudure vers le substrat en aluminium du lampadaire. Ensuite, l'adhésif thermoconducteur du substrat la transfère au boîtier de la lampe. Ce dernier conduit ensuite la chaleur vers les différents dissipateurs thermiques. Enfin, la convection entre les dissipateurs thermiques et l'air dissipe la chaleur générée par le lampadaire. Cette méthode est simple, mais son efficacité de dissipation thermique est relativement faible.

2. La dissipation thermique active utilise principalement le refroidissement par eau et des ventilateurs pour augmenter le flux d'air à la surface du radiateur et évacuer la chaleur du dissipateur thermique, améliorant ainsi l'efficacité de la dissipation thermique. Cette méthode offre une efficacité de dissipation thermique relativement élevée, mais nécessite une consommation d'énergie supplémentaire. Elle réduit l'efficacité du système.luminaires de rueet est très difficile à concevoir.


Date de publication : 02/09/2025